Dans le cadre d’études linguistiques, de commerce ou de finances, il est conseillé de passer un séjour à l’étranger. Pour financer ce projet, les étudiantes ont la possibilité de se faire embaucher comme jeune fille au pair. Mais à bien y réfléchir, il n’est pas nécessaire d’être en parcours estudiantin pour adopter cette solution. Voici quelques conditions pour réussir votre expérience en tant que jeune fille au pair.
Être jeune fille au pair : un statut qui se prépare
Généralement, on se lance dans l’aventure entre 18 et 30 ans. Être jeune fille au pair signifie que l’on séjourne temporairement à l’étranger en étant hébergé par une famille d’accueil. Cet hébergement est gratuit ainsi que la nourriture. De plus, il n’y a aucune participation aux factures d’eau et d’électricité. En guise de rémunération, la jeune fille au pair consent à faire des tâches simples et légères. Par exemple, l’accord prévoit de réaliser de petites corvées domestiques (la vaisselle, le ménage, la lessive à la machine…). Le baby-sitting est aussi proposé par la famille d’accueil. En fait, les formules sont variées et les montages envisageables sont nombreux ! Il peut ainsi arriver qu’une jeune fille au pair touche un complément financier.
Jeune fille au pair : une solution à adopter pour un séjour en Nouvelle-Zélande
Les organismes proposant l’organisation d’un séjour en tant que jeune fille au pair en Nouvelle-Zélande fleurissent de plus en plus. Bien évidemment, il y a un dossier à constituer et des conditions à respecter, qu’on peut trouver sur des sites spécialistes des filles au pair comme jobstop.be. Souvent, une jeune fille au pair en Nouvelle-Zélande reçoit une rémunération en contre partie des tâches qu’elle doit effectuer pour la famille d’accueil durant son séjour. Cette rémunération correspond généralement à un nombre d’heures de travail hebdomadaire. On notera, pour finir, qu’être jeune fille au pair en Nouvelle-Zélande nécessite d’avoir un visa PVT (vacance – travail).
